Le sentiment d’avoir échoué

Le sentiment d’avoir échoué

Rongé de l’intérieur, tu ne pourra jamais évaluer ce qui se passe en moi juste en regardant mon visage, sourire mélangé de tristesse, joie mélangée de peine et douleur mélangée au plaisir, le cocktail n’est pas glorieux.

L’intérieur brûle et c’est sur l’extérieur qu’on s’acharnent, mon âme est brûlante mais mon corps est froid, mon visage, sans expression.

Ce sentiment d’avoir perdu avant l’effort, je le connais je le ressens en permanence, cela m’affaiblit et m’enlève toute envie de compétition , toute envie de me battre pour atteindre mes objectifs.

Serait-ce la peur d’échouer ou la peur de décevoir ces personnes qui bien souvent me surestiment ?

Blessures familiales

Blessures familiales

C’est commun, c’est connu. Il n’y a rien de plus important que la famille

L’amour d’un père et d’une mère, d’un frère ou d’une sœur n’a rien d’égale ici-bas sur terre

Mais ne dit-on pas que les grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités ?

Les blessures qui viennent de la famille sont les plus douloureuses
Les plaies causées par elle sont les plus tenaces.
Elles guérissent lentement et souvent pas du tout.
Elles rongent et souvent nous détruisent, fais de nous des personnes injustes, sans équilibre sans repères et c’est la génération future qui en souffrira.

Comment donner ce qu’on a pas reçu ?

Comment aimer à cœur ouvert quand on ne l’a pas appris ?

La quête du supposé Graal, de l’argent, sensé nous rendre heureux nous divise, nous éloigne et fais de nous des étrangers

Être de la même famille ce n’est pas seulement avoir les mêmes parents, c’est partager les mêmes histoires, les mêmes valeurs, une éducation, une façon de vivre souvent même une façon particulière de voir les choses.

On peut décider de changer d’amis, de conjoint mais comment fais ton pour changer de père, de mère, de frère ou de sœurs ?

C’est poli et courtois de dire qu’on est fière de sa famille mais combien sont sincères ?

Combien feignent le bonheur pour se donner bonne conscience, pour sauver les apparences ?

 

Afrique, mon continent

Afrique, mon continent

Continent des douleurs
Continent de la détresse
Continent de la souffrance
L’Afrique a perdu son enfance
L’Afrique a perdu son innocence
Ses fils s’enfuient vers leurs « pères » présentés de force
Quand ils ne s’entre-tuent
Faut-il l’aider ? ou la laisser crouler sous le poids de son péché ?
D’ailleurs, de quel péché l’accuse -t-on ?